Les traitements qui sont proposés actuellement pour les problèmes d’érection sont d’une part des comprimés de vaso-dilatateurs, qui ne sont efficaces que dans des déficits modérés, d’autre part les injections intra-caverneuses de produits vasodilatateurs (on injecte dans la verge ce produit qui va induire une érection par un processus pharmacologique), enfin un procédé totalement mécanique, le vacuum. Son principe est celui d’une pompe qui va créer le vide dans le tissu caverneux et ainsi aspirer le sang nécessaire pour obtenir une érection suffisante, cette érection étant maintenue secondairement en plaçant un anneau élastique à la verge pour maintenir l’érection durant le rapport sexuel. Lorsque par contre, le problème d’érection est induit par un médicament dont c’est l’effet secondaire, il suffit de modifier le médicament pour l’équivalent thérapeutique et c’est possible dans beaucoup de cas.
Compte tenu du caractère relativement astreignant de certains traitements comme les injections intra-caverneuses et le vacuum, il vaut mieux avoir recours à un avis spécialisé, soit avec un urologue, soit avec un sexologue qui pourront juger du traitement le plus approprié éventuellement, en réalisant quelques explorations au préalable.
Dans le cas particulier du sujet diabétique, l’avis du diabétologue-en-docrinologue quant au rôle potentiel d’un déficit hormonal (pas assez de testostérone, l’hormone mâle responsable de l’envie) ou des complications du diabète, participe également à la décision thérapeutique. L’arrivée du Viagra va certainement remettre en cause les habitudes thérapeutiques des andrologues (les spécialistes des problèmes sexuels chez l’homme).
Très vraisemblablement aussi, nous allons assister comme aux Etats-Unis à une demande très importante de traitement, qui va conduire à une prescription très large de cette molécule. Le Viagra est un inhibiteur des phosphodiestérases qui sont des enzymes qui dégradent le monoxyde d’azote qui est nécessaire à l’obtention de l’érection par le biais de phénomènes vasculaires. Le Viagra agit donc en augmentant la rigidité et en augmentant la durée de l’érection en inhibant la dégradation du monoxyde d’azote dans le tissu intra-caverneux.
Les traitements qui sont proposés actuellement pour les problèmes d’érection sont d’une part des comprimés de vaso-dilatateurs, qui ne sont efficaces que dans des déficits modérés, d’autre part les injections intra-caverneuses de produits vasodilatateurs (on injecte dans la verge ce produit qui va induire une érection par un processus pharmacologique), enfin un procédé totalement mécanique, le vacuum. Son principe est celui d’une pompe qui va créer le vide dans le tissu caverneux et ainsi aspirer le sang nécessaire pour obtenir une érection suffisante, cette érection étant maintenue secondairement en plaçant un anneau élastique à la verge pour maintenir l’érection durant le rapport sexuel. Lorsque par contre, le problème d’érection est induit par un médicament dont c’est l’effet secondaire, il suffit de modifier le médicament pour l’équivalent thérapeutique et c’est possible dans beaucoup de cas.
Compte tenu du caractère relativement astreignant de certains traitements comme les injections intra-caverneuses et le vacuum, il vaut mieux avoir recours à un avis spécialisé, soit avec un urologue, soit avec un sexologue qui pourront juger du traitement le plus approprié éventuellement, en réalisant quelques explorations au préalable.
Dans le cas particulier du sujet diabétique, l’avis du diabétologue-en-docrinologue quant au rôle potentiel d’un déficit hormonal (pas assez de testostérone, l’hormone mâle responsable de l’envie) ou des complications du diabète, participe également à la décision thérapeutique. L’arrivée du Viagra va certainement remettre en cause les habitudes thérapeutiques des andrologues (les spécialistes des problèmes sexuels chez l’homme).
Très vraisemblablement aussi, nous allons assister comme aux Etats-Unis à une demande très importante de traitement, qui va conduire à une prescription très large de cette molécule. Le Viagra est un inhibiteur des phosphodiestérases qui sont des enzymes qui dégradent le monoxyde d’azote qui est nécessaire à l’obtention de l’érection par le biais de phénomènes vasculaires. Le Viagra agit donc en augmentant la rigidité et en augmentant la durée de l’érection en inhibant la dégradation du monoxyde d’azote dans le tissu intra-caverneux.
Compte tenu du caractère relativement astreignant de certains traitements comme les injections intra-caverneuses et le vacuum, il vaut mieux avoir recours à un avis spécialisé, soit avec un urologue, soit avec un sexologue qui pourront juger du traitement le plus approprié éventuellement, en réalisant quelques explorations au préalable.
Dans le cas particulier du sujet diabétique, l’avis du diabétologue-en-docrinologue quant au rôle potentiel d’un déficit hormonal (pas assez de testostérone, l’hormone mâle responsable de l’envie) ou des complications du diabète, participe également à la décision thérapeutique. L’arrivée du Viagra va certainement remettre en cause les habitudes thérapeutiques des andrologues (les spécialistes des problèmes sexuels chez l’homme).
Très vraisemblablement aussi, nous allons assister comme aux Etats-Unis à une demande très importante de traitement, qui va conduire à une prescription très large de cette molécule. Le Viagra est un inhibiteur des phosphodiestérases qui sont des enzymes qui dégradent le monoxyde d’azote qui est nécessaire à l’obtention de l’érection par le biais de phénomènes vasculaires. Le Viagra agit donc en augmentant la rigidité et en augmentant la durée de l’érection en inhibant la dégradation du monoxyde d’azote dans le tissu intra-caverneux.
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